Aujourd’hui, non seulement Dieu est argentin... Les premiers mois du pape François

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Résumé Fr

Au début de l’année, la démission du pape Benoît XVI n’a pas manqué de provoquer une surprise mondiale. Alléguant ne pas avoir la force nécessaire pour aller au terme de son mandat et soulignant son intention de se consacrer à une retraite spirituelle, l’ex-souverain pontife est à l’initiative d’un évènement qui ne s’était pas produit depuis les temps lointains du bas Moyen Âge, quand le pape Célestin V prit volontairement la même décision. L’apparition de la fumée blanche annonçant la fin des délibérations du nouveau conclave. Le 13 mars 2013, après délibérations du nouveau conclave, l’opinion publique internationale découvrait avec force étonnement que le successeur désigné de Joseph Ratzinger était l’Argentin Jorge Bergoglio, premier pape jésuite et américain, mais aussi premier pape non européen depuis Grégoire III (mort en 741) et premier pape hispanique depuis Alexandre VI (mort en 1503). C’est peu dire que cette nomination suscite de fortes attentes.Six mois après cette investiture historique, le pape François semble faire l’unanimité sur la scène internationale, au-delà même des fidèles catholiques. Comment expliquer cette popularité ? Après un bref retour historique sur la carrière du père Bergoglio, nous tenterons de répondre à cette question en dressant un bilan des premiers mois de son pontificat. Nous évoquerons en guise de conclusion les principaux défis que doit affronter l’Eglise catholique dans cette nouvelle ère que l’élection du pape François semble avoir ouverte.

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