Florence Carala, une figure allégorique de la liberté féminine

Fiche du document

Date

2020

Discipline
Type de document
Périmètre
Langue
Identifiants
Relations

Ce document est lié à :
Voix plurielles : Revue de l'Association des professeur.e.s de français des universités et collèges canadiens (APFUCC) ; vol. 17 no. 1 (2020)

Collection

Erudit

Organisation

Consortium Érudit

Licence

©, 2020ChristinaBrassard



Citer ce document

Christina Brassard, « Florence Carala, une figure allégorique de la liberté féminine », Voix plurielles: Revue de l'Association des professeur.e.s de français des universités et collèges canadiens (APFUCC), ID : 10.26522/vp.v17i1.2468


Métriques


Partage / Export

Résumé 0

Ascenseur pour l’échafaud (1958) de Louis Malle met en scène une figure de criminelle chargée de significations. Complice du meurtre de son mari, Florence Carala déjoue les préconceptions genrées de la femme indulgente des années 1950. Par le biais d’une approche inspirée des travaux de Geneviève Sellier, nous interrogeons les manières dont le personnage féminin incarné par Jeanne Moreau perturbe l’ordre patriarcal. En regardant plus spécifiquement la première scène du film ainsi que le verdict final du commissaire de police, nous soutenons l’idée que Florence représente le désir de libération des femmes. Le but est de montré que le film est subversif, car il remet en question la domination masculine.

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines

Exporter en