Cryptes et fantômes dans l'institution : L'exemple de la prise en charge des toxicomanes

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2004

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Pascal Hachet, « Cryptes et fantômes dans l'institution : L'exemple de la prise en charge des toxicomanes », Connexions, ID : 10670/1.523h0n


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De nombreux psychanalystes ont présenté des observations de patients porteurs de crypte ou de fantôme, mais l’impact institutionnel de ces prises en charge a été très peu exploré. S’appuyant sur son expérience clinique dans un centre de soins spécialisés aux toxicomanes, l’auteur explique que les institutions recèlent parfois elles aussi des « squelettes dans le placard » et montre que la pluridisciplinarité et le travail en réseau facilitent l’assimilation des ratés majeurs de l’introjection qui affligent les patients, leurs thérapeutes (par résonance contre-transférentielle) et les autres acteurs institutionnels.

Though a lot of psychoanalysts have supplied clinical studies about cases of “crypt” and “psychic ghost”, the institutional effects of that kind of treatment have not been investigated enough. On the basis of a clinical practice in a drug addicts care unit, the author shows how, in one hand, establishments could also hidde some “skeletons in the closet” and, in another hand, the team and the net work can facilitate the psychic elaboration of the major fails of introjection process which afflict patients, their therapists (related to counter-transference) and the other institutional agents.

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