Lialine e lialini. I fan di Liala

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2013

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Sabina Ciminari et al., « Lialine e lialini. I fan di Liala », HAL SHS (Sciences de l’Homme et de la Société), ID : 10670/1.54cb4b...


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Résumé En Fr It

Towards the end of the 1930s, Liala combined her activity as a writer with a very dense correspondence with her readers. From then on, the author received an average of 70-80 letters a week: to some of them she answered directly from the columns of the mail columns that were entrusted to her over time. To all of them, however, she guaranteed a reading. From an examination of this mail, a picture emerges of the ‘Lialine’ of Italy that is also the history of Italian women. The education manual and the resulting collection of advice are by no means secondary to Liala's activity as a storyteller: one nourished and supported the other, and vice versa. It is also thanks to this continuous exchange with her readers that Liala has secured the loyalty of an audience of genuine fans.

Vers la fin des années 1930, Liala combine son activité d'écrivaine avec une correspondance très dense avec ses lecteurs. Dès lors, l'auteure reçoit en moyenne 70 à 80 lettres par semaine : à certaines d'entre elles, elle répond directement à partir des colonnes du courrier qui lui ont été confiées au fil du temps. À toutes, cependant, elle garantissait une lecture. De l'examen de ce courrier se dégage une image des « Lialine » d'Italie qui est aussi l'histoire des femmes italiennes. Le manuel d'éducation et le recueil de conseils qui en découle ne sont en rien secondaires par rapport à l'activité de conteuse de Liala : l'un nourrit et soutient l'autre, et vice-versa. C'est aussi grâce à cet échange continu avec ses lecteurs que Liala s'est assuré la fidélité d'un public de vrais fans.

Verso la fine degli anni Trenta Liala affiancò all’attività di scrittrice la corrispondenza, fittissima, con le sue lettrici. Da allora all’autrice giunsero una media di 70-80 lettere a settimana: ad alcune di esse rispondeva direttamente dalle colonne delle rubriche di posta che nel tempo le vengono affidate. A tutte, comunque, garantiva una lettura. Dall’esame di questa posta emerge un quadro delle “Lialine” d’Italia che è anche la storia delle italiane. Il manuale di educazione e la raccolta di consigli che ne risultano non sono affatto secondari rispetto all’attività di narratrice di Liala: gli uni alimentavano e sostenevano l’altra, e viceversa. Anche grazie a questo scambio continuo con i suoi lettori, Liala si è garantita la fedeltà di un pubblico di veri e propri fan.

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