The Seals of the Quincy Family during the Thirteenth Century. Models and emblems. Third part: the Quincy-Ferrers Emblèmes et conscience lignagère : les sceaux des Quincy au XIIIe siècle. Partie 3 – Les Quincy-Ferrières En Fr

Fiche du document

Date

2022

Discipline
Type de document
Périmètre
Langue
Identifiants
Collection

Archives ouvertes

Licences

http://hal.archives-ouvertes.fr/licences/copyright/ , info:eu-repo/semantics/OpenAccess




Citer ce document

Caroline Simonet, « Emblèmes et conscience lignagère : les sceaux des Quincy au XIIIe siècle. Partie 3 – Les Quincy-Ferrières », HAL-SHS : études de genres, ID : 10670/1.59mme6


Métriques


Partage / Export

Résumé En Fr

This third article dedicated to the Quincys’ seals broaches their use by the younger sons of Saer IV de Quincy and Margaret de Beaumont, earl and lady of Winchester. Roger de Quincy used the mascles of Winchester and imitated his father’s double sided great seal as earl and constable of Scotland. The title of Winchester disappeared after his death but his eldest daughter transmitted the coat of arms of the Quincys to her grand-son William, first baron Ferrers. The Saint-Andrews, cousins of the Quincy, also used this coat of arms in a brisure version, as a mark of cadency but also as a sign of their familial links to the prestigious lineage of the earls of Winchester. Some other younger seal owners of the family preferred to use the cinquefoil of Beaumont-Leicester, especially Helen, one of Roger’s daughters and last member of the family to bear the name of Quincy. Women’s seals showed mascles and cinquefoil on elaborate heraldic seals. Foremost, the perenity of the mascles amongst the Ferrers lord of Groby underlines the emblematic success of the coat of arms of Winchester, a recent creation of the founders of the title.

Cette étude consacrée aux branches des fils cadets de Saer IV et Marguerite de Beaumont, comte et comtesse de Winchester, achève une série de trois articles dédiés aux sceaux des Quincy. Roger de Quincy s’empare pleinement des mâcles de Winchester et va jusqu’à faire copier le sceau biface de son père pour son propre grand sceau de comte et de connétable d’Écosse. Bien que le comté de Winchester ne lui survive pas, sa fille aînée transmet ses armes à son petit-fils Guillaume, premier baron de Ferrières. La branche cousine des Saint-André n’hésite pas à s’en emparer et à les briser afin d’afficher sa glorieuse parenté. Certains cadets préfèrent adopter la quintefeuille des Beaumont-Leicester à l’image d’Hélène, l’une des filles du connétable Roger et dernière du lignage née Quincy. Les sceaux féminins du lignage déclinent mâcles et quintefeuilles au sein de constructions emblématiques élaborées. Surtout, la pérennité des mâcles chez les Ferrières souligne le succès emblématique de ces armoiries de Winchester, création récente du couple fondateur.

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines

Exporter en