Une tentation post-démocratique se fait jour en histoire qui, contre l’universalisme, prend la forme d’un cloisonnement des savoirs. Mais se donner les moyens de connaître – et d’abord en apprenant les langues – est un viatique plus sûr que la revendication d’appartenances.
A post-democratic temptation appears in historyand, against universalism, fragments knowledge. But acquiring the means to know – and primarily learning the language – is more reliable than claiming a belonging.