Les phrases averbales : des formes brèves pour des genres brefs ?

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2020

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Florence Lefeuvre, « Les phrases averbales : des formes brèves pour des genres brefs ? », HAL-SHS : linguistique, ID : 10670/1.5r744z


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Résumé Fr

La phrase averbale peut être vue comme une forme économique, ce qui engendre le plus souvent une forme brève (recours au contexte ou à la situation de communication, absence de déterminant, de certains arguments). Cela dit elle peut épouser des formes longues. La brièveté ne constitue pas un trait qui lui est inhérent. Qu’implique cette structure par rapport aux genres de discours où on la rencontre le plus souvent ? Elle peut survenir dans des genres non brefs par son aptitude à s’appuyer sur le contexte ou la situation de communication (journaux intimes, SMS), par sa possibilité de mettre en exergue une information, ou au contraire de jouer un rôle méta-discursif. Ou bien elle peut apparaître dans des genres brefs imposant une contrainte spatiale ou temporelle forte (telle que les affichages numériques dans l’espace public), ou imposant un moule énonciatif comme dans les avant-textes ou les paratextes.

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