L’intime dans la relation transférentielle : quels mots pour le dire ?

Fiche du document

Date

2021

Discipline
Type de document
Périmètre
Langue
Identifiant
Collection

Cairn.info

Organisation

Cairn

Licence

Cairn




Citer ce document

Laurence Druet, « L’intime dans la relation transférentielle : quels mots pour le dire ? », Cahiers jungiens de psychanalyse, ID : 10670/1.63ufii


Métriques


Partage / Export

Résumé Fr En

Je développe dans ce texte l’idée que toute personne crée de manière très personnelle et unique un récit subjectivé, une fiction intime de son vécu. Le travail en analyse consisterait donc en une rencontre avec un récit non pas linéaire, ni chronologique de l’histoire du sujet mais avec une intrigue, et ses soubassements souterrains. Aussi, je souligne l’importance du silence en séance, du temps nécessaire pour que les mots justes se posent ; du nid transférentiel indispensable, en résonance avec le nid originel, pour permettre au (à la) patient(e) une rencontre intime avec lui (elle)-même, vers une éventuelle transformation.

In this text, I develop the idea that every individual creates in a very personal and unique way, a subjective narrative, an intimate fiction of his or her experience. The work in analysis would therefore consist of an encounter with a narrative that is neither linear nor a chronological account of the subject’s history, but a plot and its subterranean foundations. I also stress the importance of silence in the session, the time needed for the right words to be spoken; the essential transferential nest, in resonance with the original nest, providing the patient the conditions of an intimate encounter with himself or herself, towards a possible transformation.

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines

Exporter en