Montrer et dire le merveilleux sur les scènes françaises du xixe siècle

Fiche du document

Date

2015

Discipline
Type de document
Périmètre
Langue
Identifiants
Collection

Archives ouvertes

Licence

info:eu-repo/semantics/OpenAccess



Citer ce document

Hélène Laplace-Claverie, « Montrer et dire le merveilleux sur les scènes françaises du xixe siècle », HAL-SHS : littérature, ID : 10670/1.64l02x


Métriques


Partage / Export

Résumé En

Si les arts du spectacle ont toujours cherché à représenter le merveilleux, le XIXe siècle se caractérise dans ce domaine par différentes mutations : l’opéra cultivant de plus en plus le réalisme, le ballet reste le refuge privilégié du surnaturel, tandis qu’apparaît un genre nouveau, la féerie, véritable équivalent scénique du conte de fées. Mais la principale évolution réside dans un glissement du « montrer » au « dire ». Alors qu’il avait traditionnellement à voir avec ce que Marie-Françoise Christout appelle le « théâtre du silence », le merveilleux délaisse les facilités de l’enchantement visuel – domaine de prédilection de l’art cinématographique – au profit de la magie verbale. Une féerie de nature poétique se développe, de Gautier à Maeterlinck, perçue par nombre d’écrivains et de théoriciens comme le refuge du vrai théâtre, loin des compromissions du vaudeville et de ses avatars.

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines

Exporter en