Representaciones y conductas. Un repertorio de las violencias entre los nahuas de la Sierra Norte de Puebla

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15 juillet 2015

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Violent behavior

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Pierre Beaucage, « Representaciones y conductas. Un repertorio de las violencias entre los nahuas de la Sierra Norte de Puebla », Trace, ID : 10670/1.6necov


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Résumé Es En Fr

Entre los nahuas, no hay un equivalente estricto a “violencia”. Sin embargo, la idea de una fuerza excesiva y peligrosa impregna, por una parte, un amplio conjunto de representaciones míticas (violencia fundadora) y ethohistóricas (agresiones y resistencia). También está muy presente en lo cotidiano, en formas múltiples: robos, envidia, brujería y violencia doméstica. A pesar de lo amplio del fenómeno, cuyo corolario es un “discurso de la desgracia”, no se puede hablar aquí de una cultura de la violencia, puesto que nuestros interlocutores dedican mucho esfuerzo a sobrepasarla para construir una felicidad personal y familiar, aunque la sientan muy frágil.

Among the Nahua, one does not find a strict equivalent to “violence”. Yet, on the one hand, the idea of an excessive, dangerous force permeates a large set of narratives, mythical (founding violence) and ethnohistorical (aggressions and resistance). On the other hand, violence is quite present in daily life, under multiple forms: thefts, “envy” and witchcraft, domestic violence. In spite of this extension, whose corollary is a “discourse of disgrace”, one cannot speak here of a culture of violence, since our interlocutors devote much energy to overcome it in order to build a personal and familial happiness, however frail they may feel it is.

Chez les Nahuas, il n’y a pas d’équivalent strict à “violence”. Cependant, l’idée d’une force excessive et dangereuse imprègne, d’une part, un vaste ensemble de représentations mythiques (violence fondatrice) et ethnohistoriques (agressions et résistance). Elle est aussi très présente au quotidien, sous de multiples formes : vols, “envie” et sorcellerie, violence domestique. Malgré l’ampleur du phénomène, dont le corollaire est un “discours du malheur”, on ne peut parler ici de culture de la violence, puisque nos interlocuteurs s’attachent à la surmonter pour construire un bonheur personnel et familial, qu’ils sentent cependant fragile.

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