Collecting traces of the outside world: an alternative collective memory of the lockdown Collecter les traces du monde extérieur : une mémoire collective alternative du confinement En Fr

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2024

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Marta Severo et al., « Collecter les traces du monde extérieur : une mémoire collective alternative du confinement », HAL-SHS : sciences de l'information, de la communication et des bibliothèques, ID : 10.1080/13527258.2024.2303114


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Résumé En Fr

During the COVID-19 lockdown, cultural heritage institutions responded promptly to this difficult time by launching a series of digital collections of traces of this historical moment. Due to the limitations of the lockdown, such collections generally focused on the intimate dimension of the pandemic, representing the outside world (streets, shops, cultural venues, etc.) as a site of emptiness. This paper examines the Windows in Lockdown initiative, which collected photographs of the messages displayed in physical locations during the lockdown period. An action-research approach was adopted for the project, based on a participatory platform and social media. A collection of 1,224 photographs taken in France between March and May 2020 was built. This paper analyses this collection through a social semiotics approach. The analysis highlights the role played by the outside world as a generator of an alternative collective memory during COVID-19.

Pendant le confinement dû au COVID-19, les institutions patrimoniales ont réagi rapidement à cette période difficile en lançant une série de collections numériques de traces de ce moment historique. En raison des restrictions du confinement, ces collections se sont généralement concentrées sur la dimension intime de la pandémie, représentant le monde extérieur (rues, magasins, lieux culturels, etc.) comme un lieu de vide. Cet article examine l’initiative "Vitrines en confinement", qui a collecté des photographies des messages affichés dans des lieux physiques pendant la période de confinement. Une approche de recherche-action a été adoptée pour le projet, basée sur une plateforme participative et les médias sociaux. Une collection de 1 224 photographies prises en France entre mars et mai 2020 a été constituée. Cet article analyse cette collection à travers une approche de sémiotique sociale. L’analyse met en évidence le rôle joué par le monde extérieur en tant que générateur d’une mémoire collective alternative pendant la COVID-19.

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