Une principauté décentrée ? Perspectives offertes par la vicomté de Limoges à partir de 1341[efn_note]Je remercie pour son soutien de ces recherches le projet ERC STATE – Lordship and the Rise of States in Western Europe, 1300-1600 (Starting Grant n° 677502, PI : Frederik Buylaert [université de Gand] ; Co-PI : Justine Firnhaber-Baker [université de Saint-Andrews]).[/efn_note]

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Dominique Bidot-Germa et al., « Une principauté décentrée ? Perspectives offertes par la vicomté de Limoges à partir de 1341[efn_note]Je remercie pour son soutien de ces recherches le projet ERC STATE – Lordship and the Rise of States in Western Europe, 1300-1600 (Starting Grant n° 677502, PI : Frederik Buylaert [université de Gand] ; Co-PI : Justine Firnhaber-Baker [université de Saint-Andrews]).[/efn_note] », UNa - l'édition en libre accès, ID : 10670/1.78f71d...


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En formulant ma question initiale en termes de centralisation – ou plutôt de décentralisation –, j’ai voulu m’attarder sur l’une des principales raisons pour lesquelles relativement peu de recherches ont été menées sur la vicomté de Limoges à la fin du Moyen Âge. La vicomté ne disposait pas d’une position centrale, et cela à plusieurs égards. Par le mariage en 1275 de l’héritière Marie de Limoges († c. 1290x1291) au duc Arthur II de Bretagne († 1312), Limoges perd sa lignée de vicomtes autochtones et devient la propriété secondaire d’une lignée princière plus puissante.

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