Des larmes au rire, les sentiments de la duchesse de Berry dans sa correspondance familiale, 1820-1830

Fiche du document

Date

16 juillet 2024

Discipline
Type de document
Périmètre
Langue
Identifiants
Source

Mosaïque

Relations

Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/reference/issn/2105-1100

Collection

Peren-Revues

Organisation

Université de Lille

Licences

CC-BY , info:eu-repo/semantics/openAccess


Résumé Fr En

Cet article entend utiliser la correspondance inédite de la duchesse de Berry, née Marie-Caroline de Bourbon-Sicile, avec sa famille napolitaine pendant ses années à la cour de France (1816-1830). Destinée à épouser le fils cadet du futur Charles X, la princesse, Bourbon de naissance, est le dernier espoir de voir se perpétuer la branche française. Princesse étrangère mais de la même dynastie, elle entretient une correspondance régulière et suivie avec les hommes de sa famille, trois souverains successifs, son grand-père, son père et enfin son frère. Au-delà d’une correspondance obligée, la duchesse de Berry y livre certains de ses sentiments, notamment son chagrin face aux deuils qu’elle n’est plus en mesure de partager mais également ses joies et ses espoirs de retrouver une famille qu’elle est traditionnellement condamnée à ne plus revoir.

This article aims to exploit the unpublished correspondence between the Duchess of Berry, née Marie-Caroline de Bourbon-Sicile, and her Neapolitan family during her years at the French court (1816-1830). Destined to marry the youngest son of the future Charles X, the princess, a Bourbon by birth, was the last hope of perpetuating the French branch. A foreign princess, but from the same dynasty, she kept up a regular and ongoing correspondence with the men in her family, three successive sovereigns, her grandfather, her father and finally her brother. Far from an obligatory correspondence, the Duchess of Berry shared some of her feelings, in particular her grief at the bereavements she was no longer able to share, but also her joys and hopes of reuniting with a family she was traditionally condemned never to see again.

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines

Exporter en