End-of-school-year games and festivities in Côte d'Ivoire Juegos y fiestas de fin de curso en Côte d'Ivoire Jeux et festivités de fin d’année scolaire en Côte d’Ivoire En Es Fr

Résumé En Es Fr

According to 2005 data from the French Ministry of Education, the Folon region in northwest Côte d'Ivoire has the lowest school enrolment rate in the country. There are many reasons for this. They are sociological, economic and political. For a long time, people preferred to work in the fields to the detriment of school. In addition, the high cost of schooling is not affordable for all families, and the distance from the capital may also explain the relative lack of political interest. Between 1980 and 1995, the town had two schools, EPP Goulia 1 and Goulia 2, which catered for natives and young people from the surrounding villages. Today, there are two middle schools and a high school. Like all schools in the country, they do not escape the rituals of the end of the school year.Key words: education, games, learning, prospects, development.

Según datos de 2005 del Ministerio de Educación, la región de Folon, en el noroeste de Costa de Marfil, tiene la tasa de escolarización más baja del país. Las razones son múltiples. Son sociológicas, económicas y políticas. Durante mucho tiempo, la población local prefirió trabajar en el campo en detrimento de la escuela. Además, el elevado coste de la escolarización hace que no todas las familias puedan permitírsela, y la lejanía de la capital también puede explicar la relativa falta de interés político. Entre 1980 y 1995, la ciudad contaba con dos escuelas, EPP Goulia 1 y Goulia 2, que atendían a los nativos y a los jóvenes de los pueblos de los alrededores. Hoy existen dos colegios y un liceo. Como todas las escuelas del país, no escapan a los rituales de fin de curso.Palabras clave: educación, juegos, aprendizaje, perspectivas, desarrollo.

Selon les données du Ministère de l’Education nationale de 2005, la région du Folon au nord-ouest de la Côte d’Ivoire est la moins scolarisée du pays. Les raisons de ce retard sont multiples. Elles sont à la fois sociologiques, économiques et politiques. Pendant longtemps les populations ont privilégié le travail dans champs au détriment de l’école. En outre, l’école a un coût financier important qui n’est pas à la portée de toutes les familles, à cela s’ajoute l’éloignement de la capitale qui peut aussi expliquer le relatif désintérêt politique. Entre 1980 et 1995, la ville comptait deux écoles EPP Goulia 1 et Goulia 2 qui accueillaient les natifs et les jeunes des villages environnants. Il y a aujourd’hui deux collèges et un lycée. Comme toutes les écoles du pays, elles n’échappent pas aux rituels de fin d’année scolaire.Mots clés : éducation, jeux, apprentissages, perspectives, développement.