La violence dans le cerveau : Une critique de la contribution des neurosciences sociales au droit criminel

Fiche du document

Date

14 mai 2025

Discipline
Type de document
Langue
Identifiants
Organisation

MSHE C. N. Ledoux




Citer ce document

Amanda PUSTILNIK, « La violence dans le cerveau : Une critique de la contribution des neurosciences sociales au droit criminel », Système d'information en philosophie des sciences, ID : 10670/1.7b90c6...


Métriques


Partage / Export

Résumé Fr

La question abordée dans cet article est la suivante : peut-on apporter une réponse purement physiologique à la question de savoir ce qui fait que, dans des circonstances identiques, un individu commettra des crimes violents quand un autre ne le fera pas ? L’auteur revient sur la prétention des recherches en droit et neurosciences à apporter une réponse qui passe par l’identification des bases biologiques de la criminalité. Dans une première partie, sont présentés les arguments censés démontrer une relation causale entre conduite violente et dysfonctionnement du cerveau. Dans une deuxième partie, est analysée la thèse de l’inscription de la violence criminelle dans le cerveau. Enfin, après que cette thèse ait été critiquée, des objections sont faites au réductionnisme propre à ces neurosciences. P. F.

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines