Die Aufhebung der wiener Frauenklöster unter Joseph II

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2004

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Christine Schneider, « Die Aufhebung der wiener Frauenklöster unter Joseph II », Austriaca : Cahiers universitaires d'information sur l'Autriche (documents), ID : 10670/1.7cs01a


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Résumé De En Fr

In den Jahren 1782/83 hob Kaiser Joseph II. alle Konvente der kontemplativen Orden auf, wodurch die österreichische Klosterlandschaft nachhaltig und bis auf den heutigen Tag verändert wurde. Von den ehemals neun Wiener Lrauenklöstem blieben nur die Ursulinen, die Salesianerinnen und die Elisabethinen bestehen. Die ökonomische Situation der verbleibenden Konvente verschlechterte sich und die religiösen Gepflogenheiten der Schwestern erfuhren radikale Veränderungen. Zahlreiche Exnonnen aus aufgehobenen Klöstern lebten nun in der Welt. Die josephinischen Klosteraufhebungen bedingten auch massive Verluste an Kulturgütern. Die Bibliotheken der aufgehobenen Wiener Lrauenklöster wurden teilweise der Universitätsbibliothek eingegliedert bzw. versteigert oder als Altpapier verkauft. Die stark dezimierten Akten der aufgehobenen Konvente befinden sich heute in unterschiedlichen kirchlichen und staatlichen Archiven. Die für die moderne Historiographie so wichtigen Klosterchroniken, Nekrologe und persönlichen Schriften von Nonnen scheinen verloren zu sein. Diese Quellenverluste sind eine Ursache fur das geringe Interesse, das die Geschichtsforschung den Frauenklöstem bis dato entgegen bringt.

In 1782/1783, Emperor Joseph II dissolved all convents of contemplative orders, thereby irrevocably changing the Austrian monastic scene. Out of formerly nine Viennese nunneries, only those of Ursulines, Salesianes, and Elisabethines exist today. The economic status of the surviving convents deteriorated, and the religious habits of nuns changed considerably, with numerous former nuns living a lay live outside of convents. Joseph II’s convent dissolutions also caused extensive losses of cultural assets. Libraries of Viennese nunneries were incorporated into the library of Vienna University, auctioned off, or sold as waste paper. Records of dissolved convents were moved to clerical and public archives and remain incomplete. Convent chronicles, necrologies, and personal writings of nuns, all essential for historiography, have disappeared. The loss of primary sources is a reason for the muted research interest into the history of nunneries.

Dans les années 1782/83, l’empereur Joseph II ferme tous les couvents des ordres contemplatifs ; ainsi le monde des couvents autrichiens s’en est trouvé irrémédiablement transformé et ce jusqu’à aujourd’hui. Des neuf couvents de femmes viennois existant alors ne restent que ceux des Ursulines, des Salésiennes et des Elisabéthaines. La situation économique des couvents restants s’est détériorée et les habitudes religieuses des sœurs connurent des changements radicaux. D’anciennes nonnes venant des couvents viennois fermés vécurent dans le monde. La fermeture de ces convents par Joseph II entraîna la perte de nombreux biens culturels. Les bibliothèques des couvents de femmes viennois furent soit intégrées en partie à la bibliothèque universitaire, soit vendues aux enchères, soit vendues comme vieux papiers. Les archives disséminées de ces couvents se trouvent aujourd’hui dans diverses institutions ecclésiales ou de l’Etat. Les écrits personnels des nonnes, les nécrologies et les chroniques des couvents, si importants pour l’historiographie moderne, semblent avoir été perdus. Cette perte de sources est une des raisons qui explique le peu d’intérêt jusqu’à aujourd’hui pour l’histoire des couvents de femmes.

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