"Je ne suis pas pareil aux autres" : le "je" gidien, entre désir de singularité et tentation de banalité

Fiche du document

Date

12 juin 2012

Discipline
Type de document
Périmètre
Langue
Identifiants
Collection

Archives ouvertes

Licence

info:eu-repo/semantics/OpenAccess




Citer ce document

Stéphanie Bertrand, « "Je ne suis pas pareil aux autres" : le "je" gidien, entre désir de singularité et tentation de banalité », HAL-SHS : linguistique, ID : 10670/1.7dxncp


Métriques


Partage / Export

Résumé Fr

L’aphorisme, fruit d’une énonciation personnelle mais dont la portée se veut générale voire universelle, pose la question du lien entre soi et les autres, entre l’individu et la collectivité. Dans une œuvre que l’auteur conçoit en partie comme légitimation de sa singularité (homosexuelle), l’ambivalence aphoristique acquiert une portée tout à la fois éthique et esthétique : elle traduit la quête d’un équilibre entre refus d’une norme aussi omniprésente que nécessaire, affirmation d’une singularité non marginale et tentation d’exemplarité.

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines

Exporter en