1 décembre 2021
Maëlle Rousselot, « Les willis dans Giselle : de l'idéalisation à la peur », HAL-SHS : histoire de l'art, ID : 10670/1.7gkqml
Si les magiciennes sont nommées, les femmes accusées de sorcellerie diabolique restent anonymes jusqu’à ce qu’elles soient dénoncées dans les procès pour sorcellerie où le corps devient motif d’accusation. Leur apparence change au fil des siècles et se révèle être liée à l’histoire du pouvoir.