15 février 2024
Sabrina Lavric, « : CEDH 1er févr. 2024, Ramadan c. France, nos 23443/23 », HAL-SHS : droit et gestion, ID : 10670/1.7j8co2
Eu égard à la marge d’appréciation élargie dont disposait la France, s’agissant de propos ne se rattachant pas à un débat d’intérêt général, la condamnation du requérant pour avoir diffusé l’identité d’une victime d’agression sexuelle constituait une ingérence proportionnée au but légitime poursuivi.