Peut-on dresser un bilan métaphysique après Auschwitz ?

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26 janvier 2021

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Maxime Decout, « Peut-on dresser un bilan métaphysique après Auschwitz ? », HAL-SHS : littérature, ID : 10670/1.7lfvwc


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on-dresser-un-bilanmetaphysique-apres-auschwitz/ Avec Bilan métaphysique après Auschwitz, Didier Durmarque s'efforce de comprendre, en quelques pages resserrées, comment Auschwitz impose un questionnement métaphysique auquel la littérature nous donne accès. Il ne s'agit pas, pour l'essayiste, de valider ou non l'existence de Dieu mais de se demander pourquoi l'idée de Dieu mérite d'être réinterrogée après Auschwitz. Or poser cette question revient, inévitablement, à en formuler une autre : « qu'est-ce que l'homme ? ». Le projet est assurément ambitieux, pour ne pas dire colossal. Bien d'autres s'y sont essayés. Mais au lieu de s'engager dans un travail encyclopédique, Didier Durmarque a choisi de changer d'échelle, en ne posant cette immense question qu'à la littérature. Et plus exactement, à quatre écrivains, qualifiés d'écrivains incandescents. Robert Antelme, Piotr Rawicz, Yitzhak Katzenelson, Imre Kertész : des écrivains dont l'oeuvre porte cette brûlure métaphysique, des écrivains qui nous la transmettent et nous la font éprouver. Certes tous ces

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