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1908
- handle: 10670/1.7ptlf5
Mots-clés
photographie stéréométrique photographie métrique médecine légale plan de scène de crime commissariats de police trousse à tirage constant mise en plaque service parisien de l’Identité judiciaire Tomellini (Louis) Bulletin de la Société française de Photographie photographie signalétique Bertillon (Alphonse) empreintes de pas chambres photographiques cadavres plan à échelle connue Sûreté générale photographie perspectrométrique géométrie descriptive sujet en pied Lacour-Berthiot objectifs modernes photographies d'art photographie des cadavres objets en relief taches de sang tirage focal réduction (photographie) appareils d’agrandissement cour d'assises (Paris) pratique médico-légaleCiter ce document
Tomellini (Louis), « Le Laboratoire du service de l’Identité judiciaire de la Préfecture de police de Paris (1908) », Criminocorpus : sources pour l'histoire de la justice, des crimes et des peines, ID : 10670/1.7ptlf5
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Résumé
Cette publication constitue un tiré à part d’un article publié en février 1908 par Louis Tomellini (assistant à l’Institut de Médecine légale de Gênes) dans Les Archives d’Anthropologie criminelle et de Médecine légale. L’auteur remercie Alphonse Bertillon et Philippe David qui, respectivement chef et sous-chef du service parisien de l’Identité judiciaire, lui ont permis d’étudier in situ l’organisation et le fonctionnement de ce service. Il s’intéresse ici tout particulièrement à un appareil photographique de format réduit et portatif qui - inventé par Alphonse Bertillon - est destiné à servir aux agents des commissariats de police (Sûreté générale) pour réaliser des photographies métriques de scènes de crime, des photographies signalétiques ou encore des photographies de traces diverses (digitales, de sang, etc.). L’auteur explique en détail les éléments qui composent cet appareil et les différents usages dont il peut faire l’objet. Il précise aussi les logiques auxquelles renvoient les photographies métriques et stéréométriques théorisées et confectionnées par Alphonse Bertillon. Neuf clichés et deux schémas illustrent ce texte.