« Le mondain, le transcendantal, l’absolu — et le reste » Essai sur la « clôture du transcendantal » dans la Sixième Méditation cartésienne de Fink

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1 janvier 2005

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Volume 1 (2005)

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Université de Liège


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Transcendantalité

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Grégori Jean, « « Le mondain, le transcendantal, l’absolu — et le reste » Essai sur la « clôture du transcendantal » dans la Sixième Méditation cartésienne de Fink », Bulletin d'Analyse Phénoménologique, ID : 10670/1.7ule9z


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Le but de cette étude est de relire la Sixième méditation cartésienne de Fink comme une double tentative de radicalisation de la scission entre le transcendantal phénoménologique et ses différentes figures d'extériorité (le mondain, le spectateur phénoménologisant, l'ordre de la "non-donnée" réductive), et de réintégration de ces figures dans une transcendantalité élargie jusqu'à devenir absolue. Après avoir détaillé les modalités et les enjeux critiques (notamment à l'égard de Heidegger) de ce double mouvement, l'auteur tente d'évaluer la pertinence d'une telle "clôture" du transcendantal, et interroge notamment sa capacité à réintégrer la "mondanéité" qui, tout en devenant chez Fink le "lieu" même où elle s'opère, n'en constitue pas moins, dans une certaine mesure, un "reste" inassimilable par l'absolu phénoménologique.

The present study aims to propose a re-reading of Fink's Sixth Cartesian Meditation as being an attempt not only to radicalize the scission between the transcendental and its various figures of exteriority (the mundane, the phenomenologizing spectator, the order of reductive "non-data"), but also to reintroduce these figures in a transcendentality which is enlarged to the point of being absolute. After discussing the critical stakes (especially as to Heidegger) of this double movement, and giving some details on how it takes place, the author tries to evaluate the relevance of such an "enclosure" of the transcendental. He especially wonders if it can reintroduce "mundanity", which in Fink certainly becomes the very "place" where the enclosure is performed, but also represents, to some extent, a "rest" unassimilable by the phenomenological absolute.

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