En el presente ensayo determino elementos de continuidad entre las épocas en las que Iván Ilich escribe su libro titulado “la desescolarización” y la actual crisis planetaria expresada en la pandemia por COVID-19. Establezco tres relaciones que operan como categorías de análisis y como continuidad histórica. Estas categorías son: crisis económicas y cambios o reformas a los sistemas educativos; una segunda relación es derecho-mercancía tensionada con derecho-aprendizaje; una tercera referida al papel de la tecnología como falsa dicotomía entre presencialidad y virtualidad. En la sección primera establezco elementos de contexto caracterizando las épocas en la cual se escribió el texto de Ilich y su relación con la actual crisis del modelo de acumulación de capital, denominado neoliberalismo, esbozando las categorías que serán analizadas. En el apartado II me refiero a la crisis de la escuela. En la sección III me focalizo en la relación categorial derecho-mercancía v/s derecho-aprendizaje. Y, en la cuarta abordo la función de la tecnología, en la gestación como en el desarrollo y solución a las crisis. Finalmente planteo las preguntas sobre la posible muerte de la escuela y cuáles podrían ser sus eventuales reemplazos.
In this present essay, I determine elements of continuity between the times in which Iván Ilich writes his book entitled “the deschooling or unschooling” and the current planetary crisis expressed in the COVID-19 pandemic. I establish three relationships that in turn operate as categories of analysis, and as elements of historical continuity. These categories are economic crises and changes or reforms to educational systems; a second relationship is right-merchandise that I stress with the relationship right-learning; and a third relationship that refers to the role of technology as a false dichotomy between presence and virtuality. In the first section, I establish elements of context characterizing the times in which Ilich’s text was written, and its relationship with the current crisis of the capital accumulation model, called neoliberalism, outlining the categories that will be analyzed. In section II, I refer to the crisis of the school. In section III, I focus on the right-commodity v / s right-learning categorical relationship. And, in the fourth and last part, I address the role of technology; both in gestation and in development and solution to crises. Finally, I ask questions about the possible death of the school and what its possible replacements could be.
Dans ce présent essai, je détermine des éléments de continuité entre l’époque où Iván Ilich écrit son livre intitulé « la déscolarisation ou désacralisation » et la crise planétaire actuelle exprimée dans la pandémie COVID-19. J’établis trois relations qui à leur tour fonctionnent comme des catégories d’analyse et comme des éléments de continuité historique. Ces catégories sont : les crises économiques et les changements ou réformes des systèmes éducatifs ; une deuxième relation est la bonne marchandise que j’insiste avec la relation juste-apprentissage ; et une troisième relation qui fait référence au rôle de la technologie comme une fausse dichotomie entre présence et virtualité. Dans la première section, j’établis des éléments de contexte caractérisant l’époque où le texte d’Ilich a été écrit, et sa relation avec la crise actuelle du modèle d’accumulation de capital, appelé néolibéralisme, décrivant les catégories qui seront analysées. Dans la section II, je parle de la crise de l’école. Dans la section III, je me concentre sur la relation catégorielle droit-marchandise vs droit-apprentissage. Et, dans la quatrième et dernière partie, j’aborde le rôle de la technologie ; à la fois en gestation et en développement et en solution aux crises. Enfin, je pose des questions sur la posible mort de l’école et quels pourraient être ses remplacements éventuels.
