Les confréries à Florence et dans son contado aux XIVe-XVe siècles

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1987

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Charles-Marie de La Roncière, « Les confréries à Florence et dans son contado aux XIVe-XVe siècles », Publications de l'École Française de Rome, ID : 10670/1.83ld0y


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Dans cet espace, des confréries se mettent en place d'un bout à l'autre de la période. On en connaît 240 en 1400, chiffre destiné à croître au XVe siècle. À des objectifs de base qui leur sont communs (solidarité, prière), ces confréries joignent ceux qui sont propres aux catégories qu'on y distingue : laudesi, battuti, bienfaisance en ville, mariales et battuti dans le contado. Les Florentins s'intéressent à ces confréries, ils s'y inscrivent, les financent, certains même leur fixent fin XIVe-XVe siècle un projet moral, social, ou éducatif plus ambitieux, tandis que les autorités civiles les soutiennent, les utilisent, mais resserrent aussi leur contrôle sur elles. Cette nouvelle convergence d'intérêts modifie l'esprit et les activités des confréries connues. Sourdine est mise à la bienfaisance habituelle (sauf les pau vres honteux) et la piété semble baisser d'un ton. Sont privilégiés les offices pour les morts, les processions et représentations festives, tandis qu'apparaissent des confréries de métiers et d'enfants. Le contado est mal connu au XVe siècle.

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