The Languedocien and Provençal loyalties of Cardinal de Fleury at court Les fidélités languedociennes et provençales du cardinal de Fleury à la cour En Fr

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10 juin 2010

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Pascale Mormiche, « Les fidélités languedociennes et provençales du cardinal de Fleury à la cour », HAL SHS (Sciences de l’Homme et de la Société), ID : 10.4000/crcv.2123


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Résumé En Fr

Having resided at the court since around 1666 and especially after 1680, the Cardinal André Hercule de Fleury is a central figure in the study of the enduring ‘clientelism’ and networks exploited by the Méridionaux (Southerners) to obtain employment at the court. His own admission to court owed initially to good management of relations between Lodève and Montpellier. He was supported at the time by the Bonzi and Castries families, who accompanied him to Paris. Later adjusting his relations according to the dominant families at court, at the chapel and in the service of the king in the late seventeenth century, he obtained the bishopric and then the royal tutorship. From that time on, he acted as a ‘patron’ whose influence grew during the Regency and especially after 1722. This article brings to light the ties used by the cardinal to his advantage and subsequently as protector of the Languedociens and Provençaux, some of whom obtained ministerial employment through his intervention.

Ayant vécu à la cour depuis 1666 environ et surtout après 1680, le cardinal André-Hercule de Fleury est un personnage central dans l’étude sur la longue durée du clientélisme et des réseaux utilisés par les Méridionaux afin d’obtenir des emplois à la cour. Sa propre ascension s’appuie d’abord sur une bonne gestion des relations locales entre Lodève et Montpellier. Il est alors soutenu par les familles Bonzi et Castries qui l’accompagnent vers Paris. Modifiant ensuite ses relations en fonction des familles qui dominent à la cour, à la Chapelle et dans le service du roi à la fin du xviie siècle, il parvient à l’épiscopat puis au préceptorat royal. À partir de ce moment, il se comporte comme un « patron » dont l’influence s’accroît pendant la Régence et surtout après 1722. Cet article met en évidence les liens variés que le cardinal utilise à son profit puis comme protecteur des Languedociens et des Provençaux dont certains parviennent, grâce à lui, au ministériat.

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