L'historien face au barbare : le barbare n'est pas celui qu'on croit Agricola de Tacite

Fiche du document

Type de document
Périmètre
Langue
Identifiants
Collection

Archives ouvertes

Licence

info:eu-repo/semantics/OpenAccess



Citer ce document

Myriam Kissel, « L'historien face au barbare : le barbare n'est pas celui qu'on croit Agricola de Tacite », HAL-SHS : littérature, ID : 10670/1.8w1339


Métriques


Partage / Export

Résumé Fr

Veyne, dans son ouvrage Comment on écrit l'histoire, dit : « L'histoire est oeuvre d'art parce que, tout en étant objective, elle n'a pas de méthode et n'est pas scientifique ». Cette phrase sera mon guide dans cette brève étude de l'Agricola (De vita Julii Agricolae) de Tacite. Il s'agit d'une monographie publiée en 98 après J.-C., au début du règne de l'empereur Trajan. Agricola, qui était par ailleurs le beau-père de Tacite, avait été chargé par les Flaviens (Vespasien, Titus et Domitien) de pacifier la Bretagne. Agricola l'administre pendant sept ans, de 77 à 84. Mais la Calédonie, aux confins de l'Écosse, se révolte. Le passage qui va nous intéresser ici est le discours du chef calédonien, Calgacus (§ XXX à XXXII).

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Exporter en