Du risque filicide au care : la transmission de la violence et son interruption dans l’œuvre de Doris Lessing

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2017

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Françoise Hatchuel, « Du risque filicide au care : la transmission de la violence et son interruption dans l’œuvre de Doris Lessing », HAL-SHS : sciences de l'éducation, ID : 10670/1.9c9q0u


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À travers quelques-uns de ses ouvrages (principalement les trois tomes du cycle des Enfants de la violence, les deux romans intitulés Le carnet d’or et Mémoires d’une survivante et trois écrits à caractère autobiographique), l’article se propose d’étudier la façon dont l’écriture de Doris Lessing, prix Nobel de littérature 2007, met en forme et en scène la transmission de la violence. La question centrale se noue autour de ce que l’auteure de l’article appelle « le risque filicide », c’est-à-dire le risque du désinvestissement (au sens de Piera Aulagnier), potentiellement mortel pour les enfants, et donc impossible à assumer. Ce sont les effets des injonctions contradictoires qui en résultent que l’article s’efforce de repérer, montrant comment le care, le « prendre soin » des enfants, pourrait consister à assumer la complexité des mouvements émotionnels qui nous relient à eux.

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