La nationalité coloniale algérienne dans l'Empire français

Fiche du document

Auteur
Date

2021

Discipline
Type de document
Périmètre
Langue
Identifiants
Relations

Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/altIdentifier/doi/10.5216/rfd.v44i3.67252

Collection

Archives ouvertes

Licence

info:eu-repo/semantics/OpenAccess




Citer ce document

Yerri Urban, « La nationalité coloniale algérienne dans l'Empire français », HAL-SHS : histoire, ID : 10.5216/rfd.v44i3.67252


Métriques


Partage / Export

Résumé Fr

Au moment de l’apogée territoriale de l’Empire français, les indigènes des possessions (Algérie, colonies, protectorats, mandats B de la SDN) ne sont ni Français ni étrangers ; ils sont rattachés à leurs territoires d’origine par des nationalités coloniales inférieures à la nationalité métropolitaine. Quelle est la singularité de la nationalité coloniale algérienne dans ce contexte ? Après avoir comparé les différentes modalités d’attribution et d’abandon de cette nationalité atypique, on conclue ici à la banalité de la situation algérienne au regard de l’originalité de celles de certains territoires comme l’Indochine ou la Guyane.

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines

Exporter en