AU-DELÀ DES FRONTIÈRES : LA « RÉÉCRITURE » DE SHAKESPEARE À L’ÎLE MAURICE

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1 janvier 2016

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Neelam Pirbhai-Jetha, « AU-DELÀ DES FRONTIÈRES : LA « RÉÉCRITURE » DE SHAKESPEARE À L’ÎLE MAURICE », HAL-SHS : littérature, ID : 10670/1.9za2n9


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Ancienne colonie française (de 1715 à 1810) et britannique (de 1810 à 1968), l’île Maurice eut son indépendance en 1968. Icône incontournablede la littérature anglaise, Shakespeare est aussi traduit en créole mauricien, langue souvent considérée inférieure, un patois. Pourquoi ré-écrire : pour traduire ? pour imiter ? Ou pour inventer ? En effet, la réécriture peut d’abord se manifester sous forme d’imitation des mêmes thèmes, personnages, situations ou styles d’écriture. La réécriture consiste également à transformer un texte, à le « réinvestir » selon le terme de Dominique Maingueneau. Gabriel Tarde, dans son oeuvre, Les lois de l’imitation (1890), insiste sur le fait que sans imitation, l’invention est impossible. En effet, traduire ou réécrire en créole permet de percer à jour les enjeux identitaires, les défis contemporains, de sortir du monde de l’élite, éduqué, et toucher le peuple. Cette étude vise ainsi à analyser l’imitation et l’invention dans quelques oeuvres traduites/ré-écrites de Shakespeare, au-delà des frontières britanniques, plus particulièrement à l’île Maurice, par Dev Virahsawmy.

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