Erhellende Bilder in dunklen Räumen. Die Jātakamālā-Darstellungen in Ost-Tibet (1450-1550) Clear-Cut Images in Obscure Settings. The Representations of the Jātakamālā in Eastern Tibet (1450-1550) Imágenes claras en piezas oscuras. Las representaciones del Jātakamālā del Tibet oriental (1450-1550) Des images claires dans des pièces obscures. Les représentations de la Jātakamālā au Tibet oriental (1450-1550) De En Es Fr

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13 octobre 2022

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Jean-Baptiste Georges-Picot, « Des images claires dans des pièces obscures. Les représentations de la Jātakamālā au Tibet oriental (1450-1550) », HAL-SHS : histoire des religions, ID : 10.4000/perspective.27959


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Résumé En Fr

This article draws on the example of the Jātakamālā (“Garland of Birth Stories”) and theoretical approaches forged within the field of western art history to examine approaches to depicting and displaying narratives in the Tibetan world. Notwithstanding the absence of iconographic prescriptions and despite private patronage and sometimes awkward executions, the examples studied demonstrate the care given to visual representations clarifying and complementing the text of the Jātakamālā. Such meticulousness is all the more remarkable for the fact that these pictures, relegated to the bases of chapel walls that were plunged into darkness, were probably not intended to be contemplated. Several hypotheses about this apparent paradox are advanced by way of conclusion.

À partir de l’exemple de la Jātakamālā (« Guirlande des renaissances ») et d’approches théoriques forgées dans le champ de l’histoire de l’art occidental, cet article examine les politiques de mise en images et de mise en espace de récits dans le monde tibétain. Malgré l’absence de prescription iconographique et en dépit de patronages privés et d’exécutions parfois malhabiles, les quelques exemples étudiés témoignent du soin accordé à des représentations qui précisent et complètent le texte de la Jātakamālā. Cette minutie est d’autant plus remarquable que ces images, reléguées au bas des murs de chapelles plongées dans l’obscurité, n’étaient vraisemblablement pas destinées à être contemplées. La conclusion propose quelques hypothèses pour rendre compte de ce paradoxe apparent.

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