Les aveugles des philosophes de l’Âge classique aux Lumières: Aléas d’une pensée de la cécité entre rationalisme et empirisme

Fiche du document

Date

2019

Discipline
Périmètre
Langue
Relations

Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/altIdentifier/doi/10.15122/isbn.978-2-406-08831-8.p.0153

Collection

Archives ouvertes

Licence

info:eu-repo/semantics/OpenAccess




Citer ce document

Marion Chottin, « Les aveugles des philosophes de l’Âge classique aux Lumières: Aléas d’une pensée de la cécité entre rationalisme et empirisme », HAL-SHS : philosophie, ID : 10.15122/isbn.978-2-406-08831-8.p.0153


Métriques


Partage / Export

Résumé Fr

Cet article entend dénouer un paradoxe : comment le siècle des Lumières peut-il être à la fois celui de la création de l’Institut royal des jeunes aveugles et d’une philosophie, l’empirisme, qui soutient avec John Locke que les idées viennent avant tout du sens de la vue ? S’il a bien produit une conception privative de la cécité, l’empirisme a également suscité, notamment avec George Berkeley, Denis Diderot ou Jean D’alembert, une représentation concurrente, propice à l’éducation des aveugles.

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines

Exporter en