Présences de la science à l'écran, deux approches du scientisme

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1 décembre 2012

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Jean-François Ternay et al., « Présences de la science à l'écran, deux approches du scientisme », HAL-SHS : sciences de l'information, de la communication et des bibliothèques, ID : 10670/1.b36hei


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Peut-on échapper au scientisme quand on aborde la science par le cinéma ou la télévision ? Dans cette « compénétration » de l’art et de la science, plusieurs stratégies d’utilisation des images se proposent spontanément. La plus évidente, celle qui nourrit la plupart des films scientifiques dit de vulgarisation, consiste à faire découvrir au spectateur leur recherche. Il s’agit alors de faire en sorte que les images montrent ces aspects de la réalité, auparavant mal connus, voire inconnus. Les images sont là pour nous faire voir ce que le chercheur a enfin pu rendre visible. Cette stratégie, dont la légitimité didactique est très discutable, escamote soit partiellement, soit complètement, toute la partie méthodologique qui a permis au scientifique d’arriver aux résultats les plus spectaculaires qui nous sont présentés. Il ne reste alors parfois que la séduction, mais à quels profits ? L’article appuy sa démonstration sur deux films traitant du coup de foudre en télévision, et le film d’Alain Resnais « Mon oncle d’Amérique ».

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