2006
Cairn
Dominique Goy-Blanquet, « La solitude de Coriolan », Études anglaises, ID : 10670/1.b7s01i
La gloire des armes est tellement passée de mode qu’on ne sait comment interpréter Coriolan. Shakespeare y déplore-t-il la mort du héros ? Fait-il l’apologie ou le réquisitoire du peuple, et par ce biais, de la démocratie ? Nous le suivons dans sa lecture de Plutarque, revu et commenté par le traducteur Thomas North, afin d’éclairer la mise en forme dramatique du premier affrontement entre classes de l’histoire romaine.