L'ekphrasis huysmansienne ou la description au second degré

Fiche du document

Date

2015

Discipline
Type de document
Périmètre
Langue
Identifiants
Collection

Archives ouvertes




Citer ce document

Gaël Prigent, « L'ekphrasis huysmansienne ou la description au second degré », HAL-SHS : littérature, ID : 10670/1.biiq23


Métriques


Partage / Export

Résumé 0

Associée à la peinture du fait du rôle joué par L’Art moderne et Certains dans l’histoire de la critique d’art, l’œuvre de Huysmans l’est aussi par ses fictions et la place qu’y tiennent les transpositions d’art. Dès À rebours, l’ekphrasis tient un rôle éminent, mais dès qu’apparaissent les Salomés de Moreau, on constate aussi l’extrême ambivalence de ces descriptions qui acquièrent d’emblée une dimension onirique. Les premières œuvres offraient déjà des exemples de cette « similitude » entre la description d’une œuvre véritable et le récit de rêve, ou mieux encore l’ekphrasis d’une œuvre fantasmée. Mais cela est plus visible dans certains passages d’En route ou de La Cathédrale, qui font de la littérature le lieu d’une hypotypose généralisée appliquée aux œuvres de l’art sacré.

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines

Exporter en