Les drogmans, « ces oubliés de l’histoire »

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2012

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Anne-Marie Touzard, « Les drogmans, « ces oubliés de l’histoire » », Actes des congrès nationaux des sociétés historiques et scientifiques (documents), ID : 10670/1.bku1f6


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Résumé Fr

Au temps de l’Empire ottoman, le drogman est un interprète au service des ambassadeurs, consuls et commerçants auprès des autorités ottomanes. Rôle qui prend parfois une couleur diplomatique. D’où l’importance capitale de ces drogmans. Mais la nature même de leur fonction, essentiellement orale, les a prédisposés en quelque sorte à être oubliés, tout au moins à rester dans l’ombre. D’autant que si le drogman était parfois plus compétent dans les affaires diplomatiques que son maître, seuls quelques ambassadeurs ont su reconnaître leurs mérites. On propose ici une étude des mémoires conservés aux Archives nationales et à celles du ministère des Affaires étrangères, de 1721, date de la mise en place de l’École des Jeunes de langues sous sa forme « moderne », jusqu’à la Révolution, émanant des ambassadeurs ou de leurs collaborateurs, parfois des drogmans eux-mêmes.

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