1999
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Jean-Claude Albaret, « Champ électromagnétique en biologie », Le Journal de Botanique (documents), ID : 10670/1.bm378p
L’étude de l’action biologique des champs électromagnétiques, permet de préciser trois points. Au cours d’une typologie des pylônes l’auteur observe que certains insectes sont plus attirés par certains poteaux électriques que par les fleurs. Les poteaux qui attirent les insectes sont du même type que ceux autour desquels habitent la plupart des malades atteints de certains cancers. Parmi les hypothèses des physiciens, l’auteur retient provisoirement celle de champs pulsés qui libéreraient leur énergie dans les zones de Variation Spatiale de champs Electro Magnétique (VASEM) induites par ces pylônes (380V, 50Hz). 2. Par ailleurs, Davies montre que la résonance cyclotronique de l’ion Ca++ (RCI) augmente la croissance d’une plante basse (radis) plus que celle d’une plante haute (moutarde, orge). Smith observe ailleurs que ces résultats varient avec la présence de métal sur la paillasse du laboratoire. L’auteur note que les malades atteints de certains cancers habitent plus souvent en pavillon bas qu’en haut d’immeuble (50/59 tumeurs cérébrales). L’analogie surprend, mais montre que, si la VASEM induit un champ variable et les courants telluriques naturels ou artificiels un champ statique, l’habitat de 158 de 503 malades examinés est en situation de RCI. Différents auteurs ont observé, en biologie humaine, animale et végétale, une modification des résultats par un écran métallique ou par l’annulation du champ statique. Une étude serait à faire pour déterminer si un écran métallique peut dériver ces courants comme un paratonnerre horizontal et prévenir ainsi les effets.