Exprimé à quarante ans de distance par sainte Thérèse de Lisieux et Georges Bernanos, le paradoxe des mains vides est double : les mains du serviteur de Dieu sont dites vides parce qu’elles ont tout donné ; mais, étant vidées, elles font aussi toute la richesse de leur propriétaire.
Expressed forty years apart by Saint Therese of Lisieux and Georges Bernanos, the paradox of empty hands is twofold: the hands of the servant of God are said to be empty because they have given everything; but, being empty, they are also the source of their owner’s wealth.