2020
Cairn
Bernd Renner, « « Tout ce qui a été, est et sera » : Béroalde de Verville et le mélange ménippéen », Dix-septième siècle, ID : 10670/1.byqudf
À quelques exceptions près, le renouveau récent de l’intérêt critique pour le vaste œuvre de François Béroalde de Verville n’a guère touché à deux aspects importants : son orientation satirique et sa dette envers Lucien de Samosate. Nous nous proposons d’étudier trois textes majeurs du polymathe tourangeau, à savoir Le Palais des curieux, Le Voyage des princes fortunés et Le Moyen de parvenir, dans le cadre du spoudaiogeloion lucianesque et du mélange ménippéen, afin de mieux cerner la nature de la rhétorique satirique vervillienne.