ZusammenfassungDer Artikel untersucht die Art und Weise wie menschliche Körper in Museen ausgestellt werden. Er bezieht sich vor allem auf zwei sterbliche Überreste, die in Slowenien zu museographischen Objekten geworden sind : einen Hautlappen und einen Schrumpfkopf. Diese Art von Austellungsstücken zieht das Publikum an und entsprechend haben die Museen sich bislang nicht dazu entschlossen sie aus den Vitrinen zu nehmen. Besonders aufgrund ihrer Autentizität sind menschliche Körperteile museographische Objekte par excellence, die die Besucher faszinieren. Hier bestimmt das Publikum die Austellungsobjekte
The article focuses on the ways the human body is exhibited in museums. It presents two examples of such remains that have become museum objects in Slovenia – a strap made of human skin and a shrunken human head. Museums have not yet made a decision to completely remove such objects from their exhibitions, since the museum audience desires and seeks attractions. Due to their authenticity, the human body and body parts are museum objects par excellence that fascinate the public ; and it is the public that makes the existence of museums worthwhile.
L’article interroge la façon dont le corps humain est exposé dans les musées. Il présente deux cas de restes mortels qui sont devenus en Slovénie des objets muséographiques : une lanière en peau et une tête réduite. Ce type d’objets est une attraction que le public recherche, si bien que les musées n’ont pas encore pris la décision de les retirer complètement des vitrines. En raison de leur authenticité, le corps humain et les parties corporelles constituent des objets muséographiques par excellence, qui fascinent les visiteurs. C’est le public qui fait le musée.