LA JUSTIFICATION SELON KARL BARTH Investigations dans la problématique de la fonction miroir. Élucidations par les concepts de la philosophie de Francis Jacques.

Fiche du document

Date

2 juin 2008

Discipline
Type de document
Périmètre
Langue
Identifiants
Collection

Archives ouvertes

Licence

info:eu-repo/semantics/OpenAccess


Mots-clés Fr

Théologie


Citer ce document

Claude Brunier-Coulin, « LA JUSTIFICATION SELON KARL BARTH Investigations dans la problématique de la fonction miroir. Élucidations par les concepts de la philosophie de Francis Jacques. », HAL-SHS : philosophie, ID : 10670/1.c72bf8


Métriques


Partage / Export

Résumé 0

Etude thématique à travers l'oeuvre d'ensemble de Karl Barth dont la (re)lecture doit viser un investissement en profondeur, susceptible d'apporter joie intense, mais aussi épreuve, voire souffrance, du fait qu'elle nous interpelle en ce que l'existence a de plus urgent et de plus exigeant. Ce thème de la justification à partir duquel nous approcherons donc Karl Barth, nous aurions bien voulu pouvoir l'épuiser, en procéder au moins à un recensement complet, selon une modeste consignation. Quel que soit l'objet d'une étude, nous émiettons immanquablement ce que nous examinons, nous brisons ce que nous étudions en des aspects incompatibles. En regardant un sujet à partir d'une seule et même chose, en l'occurence le miroir, nous pouvons aboutir à des réductions, à des positions inconciliables dans notre raison, nous pouvons manquer le but à atteindre à certains égards. Ce n'est qu'au moment où nous sommes illuminés par la grâce que ces contradictions de notre esprit s'abolissent, non pas rationnellement, toutefois, mais par un moyen supra-rationnel. S'agissant de Karl Barth, il faut avoir à l'esprit que sa théologie est une voie « objective » dans le sens où la dogmatique consiste à considérer l'homme à partir d'un donné objectif, d'une réalité, à savoir que « Dieu s'est fait homme ». Il s'agit là d'une chose que l'on peut comme toute chose tenir à distance de soi pour l'analyser. Elle fait abstraction du moment de l'appropriation de la vérité par l'existant; elle pose Dieu devant l'homme comme objet de connaissance ou encore comme objet d'un « discours sur... »; elle oublie de placer l'homme réellement face à Dieu.

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines

Exporter en