Shipping Geographies in the Caribbean Maritime Area TRAFIC. Les géographies de la fréquentation marchande dans l’espace maritime caribéen En Fr

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6 septembre 2021

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Résumé En Fr

In 2019, almost 11500 commercial vessels travelled through the Caribbean maritime basin and transited through one of the 300 ports in the sub-region. These frequentations testify to an intense occupation of the maritime space and call for a reflexion on the anthropic pressure on the marine and coastal environments through the vessel. The objective of the maps presented in the poster is to break down this cumulative vision of Caribbean traffic (fig1) and to propose disaggregated representations of the flows, based on the use of data from the coupling between AIS (Automatic Identification System) information and IHS ship identification data. Because not all ships are the same.Depending on their size, age and armament, ships offer very different geographies. And it has to be said that not all ships go together, at the same time, to the same places. The areas frequented by a container ship are not necessarily the same as those of an oil tanker or a cement carrier; an offshore passenger ship does not show the same traces as a cruise ship. In fact, the environmental pressure generated by shipping is certainly global, but there are also strong disparities between the fleets considered. The analysis proposes a differentiated approach to maritime transport in order to better qualify its footprint and to distinguish different areas and levels of vulnerability.All the maps presented correspond to the work carried out in the TRAFIC programme, funded by the Fondation de France (2020-2022),and hosted by the OHM Littoral Caraïbe.

En 2019, près de 11500 navires de commerce ont sillonné le bassin maritime caribéen et fréquenté l’un des 300 ports de la sous-région. Ces fréquentations témoignent d’une occupation intense de l’espace maritime et appellent une réflexion sur la pression anthropique sur les environnements marin et littoral par le biais du navire. L’objectif des cartes présentées dans le poster est de décomposer cette vision cumulative du trafic caribéen (fig 1), pour proposer des représentations désagrégées des flux, sur la base de l’exploitation de données de couplage entre les informations AIS (Automatic Identification System) et les données IHS d’identification des navires. Car tous les navires ne se valent pas. Selon leur taille, leur âge, leur armement, les navires proposent en effet des géographies bien différentes. Et force est de constater que tous ne vont pas ensemble, en même temps, dans les mêmes endroits. Les espaces fréquentés par un porte-conteneur ne sont pas nécessairement les mêmes qu’un navire pétrolier ou qu’un cimentier ; un navire passager de service offshore ne présente pas les mêmes traces qu’un paquebot de croisière. De fait, la pression environnementale exercée par le shipping est certes globale mais pour autant, de fortes disparités existent selon les flottes considérées. L’analyse propose une approche différenciée du transport maritime afin de mieux en qualifier l’empreinte et de distinguer des espaces et des niveaux différents de vulnérabilité.L’ensemble des cartographies présentées correspondent à la valorisation des travaux menés dans le programme TRAFIC, financé par laFondation de France (2020-2022), et hébergé à l’OHM Littoral Caraïbe.

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