Construction géohistorique du « sauvage » de la Garonne toulousaine : quelle part de naturalité dans les paysages fluviaux ? (3ème partie)

Fiche du document

Date

2014

Discipline
Type de document
Périmètre
Langue
Identifiants
Relations

Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/altIdentifier/doi/10.4000/developpementdurable.10629

Collection

Archives ouvertes

Licences

http://creativecommons.org/licenses/by-nc/ , info:eu-repo/semantics/OpenAccess




Citer ce document

Philippe Valette et al., « Construction géohistorique du « sauvage » de la Garonne toulousaine : quelle part de naturalité dans les paysages fluviaux ? (3ème partie) », HAL SHS (Sciences de l’Homme et de la Société), ID : 10.4000/developpementdurable.10629


Métriques


Partage / Export

Résumé Fr

La Garonne toulousaine (entre Toulouse et la confluence duTarn) est composée de nombreuses annexes fluviales : bras-morts, zones humides et ripisylves. Ici, différents dispositifs de protection labellisent une dimension « sauvage » pour le fleuve, favorisant son maintien et sa conservation sans réellement s'interroger sur leur état d’origine. Face à ce constat, comment considérer la part de naturalité des paysages fluviaux de la Garonne toulousaine aujourd’hui ? Au dire des gestionnaires, la Garonne possède une image forte de fleuve « sauvage » alors que l’héritage géohistorique montre plutôt une Garonne impactée par les activités humaines. Ce travail interroge le sens du décalage entre cette réalité géohistorique et l’image véhiculée par les représentations contemporaines du fleuve.

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines