2013
Cairn
Margaux Bonnet, « Philippe Aractinji : L’art docu-fictionnel pour répondre au besoin de mémoire », Les Cahiers de l'Orient, ID : 10670/1.cbkz7k
Après un début de carrière hétéroclite, Philippe Aractingi s’est imposé dans le monde du cinéma libanais avec Bosta (2005) et Sous les bombes (2006). Poussé par le besoin de mettre en mots et en images les traumatismes induits par les guerres à répétition, le réalisateur défie le déni de la mémoire en maîtrisant un genre encore peu répandu, le docu-drama. Ce travail se heurte cependant à de nombreux blocages.