Die Intentionalität des Fühlens und die Schichtung der emotionalen Sphäre: Die fundamentalen Fragen in Max Schelers Phänomenologie des Fühlens

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1 janvier 2010

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Volume 6 (2010)

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Numéro 5

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Université de Liège


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Wei Zhang, « Die Intentionalität des Fühlens und die Schichtung der emotionalen Sphäre: Die fundamentalen Fragen in Max Schelers Phänomenologie des Fühlens », Bulletin d'Analyse Phénoménologique, ID : 10670/1.cc5qz6


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Les questions les plus fondamentales de la phénoménologie du sentir de Max Scheler concernent la place de l’intentionnalité dans la phénoménologie du sentir et la structuration de la sphère émotionnelle. Dans la première section, nous nous focaliserons avant tout sur la différence entre les sentiments non intentionnels et le sentir intentionnel, en comparant sur ce point les positions de Scheler et de Husserl. En effet, Scheler critique ces deux thèses fondamentales de Husserl: 1) les actes affectifs et leurs corrélats (« valeurs ») doivent être associés aux représentations et à leurs corrélats (« choses », Sachen); 2) les actes affectifs, en tant qu’actes non objectivants, sont fondés dans les actes objectivants. D’une part, pour Scheler, la valeur est un objet unique en son genre du sentir des valeurs, et le sentir intentionnel est donc un acte indépendant. D’autre part, Scheler a d’abord entrepris de dépasser la séparation entre acte objectivant et acte non objectivant. Dans ce contexte, la recherche actuelle consacrée à Scheler se heurte à de nombreuses difficultés relatives à la structuration de la sphère émotionnelle en rapport avec la hiérarchie des modalités axiologiques et avec l’a priori corrélationnel. Dans la deuxième section, nous expliquerons d’abord les idées de Scheler, puis en discuterons les difficultés. C’est par le « commerce vivant » avec le monde dans le sentir intentionnel et dans les actes émotionnels intentionnels, par les corrélats intentionnels (valeurs matérielles), que Scheler se sépare du formalisme en éthique. A travers un « apriorisme matériel » qui présente trois espèce d’a priori (a priori axiologique, a priori émotionnel et a priori corrélationnel), l’éthique matérielle phénoménologique des valeurs de Sche­ler est guidée par l’esprit d’un « objectivisme et absolutisme éthique rigoureux ».

Die fundamentalsten Fragen in Max Schelers Phänome­nologie des Fühlens bestehen darin, nämlich, die Intentionalität in der Phänomenologie des Fühlens und die Schichtung der emotionalen Sphäre. Im ersten Abschnitt werden wir uns vor allem auf den Unterschied zwischen den nichtintentionalen Gefühlen und dem intentionalen Fühlen im Vergleich zu Husserl konzentrieren. In der Tat kritisiert Scheler gerade diese zwei funda­mentalen Behauptungen von Husserl, nämlich: 1) Gemütsakte und ihren Korrelaten („Werte“) müssen mit Vorstellungen und ihren Korrelaten („Sachen“) verbinden; 2) Gemütsakte als nichtobjektivierenden Akte sind in den objektivierenden Akten fundiert. Für Scheler ist einerseits der Wert ein originaler Gegenstand des Fühlens von Werten, daher ist das intentionale Fühlen ein unabhängiger Akt. Andererseits hat Scheler die Trennung selbst zwischen dem objektivierenden Akt und dem nichtobjektivierenden Akt zunächst aufgehoben. Hinsichtlich der Schichtung der emotionalen Sphäre in Bezug auf die Rangordnung der Wertmodalitäten und des Korrelationsapriori in diesem Kontext erscheinen viele Schwierigkeiten in den heutigen Scheler-Forschungen. Im zweiten Abschnitt werden wir zuerst die Gedanken Schelers erklären und dann über diese Schwierigkeiten diskutieren. Durch den lebendigen Verkehr mit der Welt im intentionalen Fühlen und in den intentionalen emotionalen Akten und durch die intentionalen Korrelate (materialen Werte) wird der Formalismus in der Ethik von Scheler abgelehnt. Durch einen „materialen Apriorismus“, der drei Arten von Apriori (Wert­apriori, emotionales Apriori und Korrelationsapriori) beinhaltet, wird Sche­lers phänomenologische materiale Wertethik von dem Geist eines „strengen ethischen Absolutismus und Objektivismus“ bestimmt.

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