Managing Foreign Subsidiaries of Higher Education Institutions Gestion des filiales étrangères des établissements d’enseignement supérieur En Fr

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25 mars 2024

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Allen Scott Duncan, « Gestion des filiales étrangères des établissements d’enseignement supérieur », HAL SHS (Sciences de l’Homme et de la Société), ID : 10670/1.cca97c...


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Résumé En Fr

Higher education institutions (HEIs) today are often compared to multinational corporations. They face similar socioeconomic issues like market saturation and intensive competition, and are increasingly expanding their physical operations abroad in the form of international branch campuses (IBCs). Based on a conceptual framework that incorporates institutional isomorphism, the OLI paradigm, and the I-R framework, this doctoral dissertation examines how higher education institutions manage the headquarter-subsidiary relationship with their international branch campuses. The empirical study focuses on the reasons for HEIs to internationalize, the rationale for creating IBCs, and how they are coordinated with the home institution. We examine these issues in the context of French business schools that have IBCs. The empirical study was conducted in two steps: 1) the exploratory case studies (five semi-structured interviews) and 2) the multiple case study analysis of five French business schools (33 semi-structured interviews). The findings provide novel insights on how HEIs manage their IBCs. The research shows the various isomorphic pressures facing French business schools to internationalize and the advantages of using IBCs over other forms of transnational education. Particular attention is paid to the different coordination mechanisms between the home institution and their branch campuses. Finally, the findings advance our understanding the choice of creating international branch campuses and how they are used within the structure of the home institution.

Les établissements d'enseignement supérieur (EES) sont souvent comparés aujourd'hui à des multinationales. Ils font face à des problématiques socio-économiques similaires telles que la saturation du marché et une concurrence intensive, et élargissent de plus en plus leurs opérations physiques à l'étranger sous la forme de campus internationaux délocalisés (CID). Fondée sur un cadre conceptuel intégrant l'isomorphisme institutionnel, le paradigme OLI et le cadre I-R, cette thèse de doctorat examine comment les établissements d'enseignement supérieur gèrent la relation siège-filiale avec leurs campus internationaux délocalisés. L'étude empirique se concentre sur les raisons pour lesquelles les EES s’internationalisent, les motifs de création d’un CID, et les mécanismes de coordination avec l'institution d'origine. Nous examinons ces questions dans le contexte des écoles de commerce françaises qui ont des CID. L'étude empirique a été réalisée en deux étapes : 1) des études de cas exploratoires (cinq entretiens semi-structurés) et 2) des études de cas multiples de cinq écoles de commerce françaises (33 entretiens semi-structurés). Les résultats fournissent des perspectives nouvelles sur la gestion des CID par les EES. La recherche montre les diverses pressions isomorphiques auxquelles font face les écoles de commerce françaises pour s'internationaliser et les avantages de l'utilisation des CID par rapport à d'autres formes d'éducation transnationale. Une attention particulière est portée aux différents mécanismes de coordination entre l'institution d'origine et ses campus délocalisés. Enfin, les résultats font progresser notre compréhension des raisons motivant la création de campus internationaux délocalisés et de la manière dont ils sont utilisés au sein de la structure de l'institution d'origine.

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