Pertinence de la maladie résiduelle dans la prise en charge de la leucémie lymphoïde chronique : données récentes et rôle des associations

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2019

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Anne Quinquenel, « Pertinence de la maladie résiduelle dans la prise en charge de la leucémie lymphoïde chronique : données récentes et rôle des associations », Hématologie, ID : 10670/1.cenwmu


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Si l’analyse de la maladie résiduelle minime (MRD) était communément acceptée comme un marqueur de substitution de la survie sans progression (SSP) à l’ère de l’immunochimiothérapie (ICT) dans la leucémie lymphoïde chronique, l’avènement des inhibiteurs de kinase tels que l’ibrutinib et l’idélalisib a initialement remis en cause son intérêt. Plus récemment, le développement du vénétoclax, premier inhibiteur de bcl2, ainsi que la perspective de nouvelles combinaisons (ICT + thérapies ciblées ou totalement chemo-free) ont remis sur le devant de la scène l’intérêt de l’analyse de la MRD, non seulement pour évaluer l’efficacité de ces associations, mais peut-être également pour guider la stratégie thérapeutique.

While minimal residual disease (MRD) analysis was commonly accepted as a surrogate marker for progression-free survival (PFS) in the era of immunochemotherapy (ITT) in chronic lymphocytic leukemia (CLL), the advent of kinase inhibitors such as ibrutinib and idelalisib initially questioned its value. More recently, the development of vénétoclax, the first inhibitor of bcl2, as well as the prospect of new combinations (ICT + targeted therapies or totally chemo-free) put back on the spotlight the interest of the analysis of the MRD, not only to evaluate the effectiveness of these associations, but perhaps also to guide the therapeutic strategy.

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