Les réseaux sociaux numériques, source primaire pour l'historien.ne

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Frédéric Clavert, « Les réseaux sociaux numériques, source primaire pour l'historien.ne », Serveur académique Lausannois, ID : 10670/1.cnic1g


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En juin 2006, Facebook, réseau social numérique en ligne, a ouvert les inscriptions à toute personne de plus de 13 ans. Quelques semaines auparavant, Twitter, d'une logique un peu différente, inaugurait son service. En dix ans, ces deux « sites web » - et bien d'autres - ont participé à (re-)structurer les relations sociales de nombreuses personnes et communautés à travers le monde. Cette communication tente d'ouvrir quelques voies de réflexion sur les représentations du passé sur les réseaux socionumériques. La première piste touche aux spécificités des réseaux socionumériques considérés comme source primaire pour l'historien.ne. L'une des grandes problématiques des recherches sur les réseaux socionumériques est la gestion de l'abondance et ses implications techniques : comment élaborer une narration de l'histoire sur la base d'un flux constant de données? Narrer l'histoire sur la base d'un flux constant de données nécessite d'ouvrir une seconde piste de réflexion : comment se diffuse l'information sur les réseaux-socionumériques? S'intéresser aux utilisateurs dans une réflexion sur les représentations de l'histoire implique d'ouvrir une troisième piste de réflexion, qui interroge l'influence éventuelle des réseaux socionumériques sur la relation entre mémoire collective et histoire.

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