Sous le regard de Rodin. Réflexions sur les pratiques d’acculturation dans l’iconographie de la consommation du vin étrusque

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2013

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Natacha Lubtchansky, « Sous le regard de Rodin. Réflexions sur les pratiques d’acculturation dans l’iconographie de la consommation du vin étrusque », HAL-SHS : histoire de l'art, ID : 10670/1.coaztj


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Une réflexion sur la norme dans le cas de la peinture étrusque archaïque peut emprunter des directions diverses. Le choix se portera, dans un premier temps, sur la question de l’utilisation de cartons par les peintres de fresques étrusques à Chiusi et à Tarquinia. On présentera les principales hypothèses que les archéologues ont émises à ce sujet, en rattachant cette question aux discussions plus générales sur la nécessité de restituer ou non des cartons dans l’Antiquité. Si à l’usage de cartons il convient de préférer une technique plus libre, reposant sur la mémoire visuelle, en ce qui concerne le sujet de l’image, on peut en revanche retenir l’usage de normes iconographiques. C’est le travail de l’exégète de l’image que de les mettre en évidence, alors même qu’il paraît à un premier regard difficile d’établir des séries iconographiques pour les programmes figuratifs archaïques des tombes étrusques. On retiendra toutefois deux domaines où cela paraît possible : les codes visuels, que les parallèles grecs nous permettent d’identifier ; les architectures peintes, qui semblent définir une norme, que l’on suggère de rattacher à celle du rituel funéraire.

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