Regarder un albâtre anglais à la fin du Moyen Âge

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10 novembre 2021

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Markus Schlicht et al., « Regarder un albâtre anglais à la fin du Moyen Âge », HAL-SHS : histoire de l'art, ID : 10.46608/primaluna11.9782356134042.8


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À notre connaissance, il n'existe pas de textes médiévaux qui nous renseigneraient sur les réactions d'un spectateur face à un albâtre anglais. Comme c'est souvent le cas, celles-ci ne peuvent être déduites que de manière indirecte en mettant en perspective les informations dont nous disposons par ailleurs. Les spectateurs : clients et commanditaires Avant de nous interroger sur la manière dont un spectateur médiéval a pu apprécier la polychromie des albâtres, il convient de mieux cerner son profil type. Autrement dit : à quel public ces oeuvres s'adressaient-elles ? Les données dont nous disposons suggèrent que leur clientèle était très large, issue à la fois de toutes les strates de la société et d'un grand nombre de pays européens. Rappelons en effet qu'en dépit des pertes massives qu'ils ont subies pendant la Réforme anglicane, plus de 2400 panneaux subsistent encore 1. Or, le nombre élevé d'oeuvres conservées démontre que cette production rencontrait au Moyen Âge un succès probablement inégalé auprès d'une clientèle très nombreuse.

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