Der Tiber, Mythos eines vergänglichen Gedächtnisses im Herzen der Ewigen Stadt The Tiber, mythopoetic of a transitory memory in the heart of the Eternal City Le Tibre, mythopoétique d'une mémoire transitoire au coeur de la ville éternelle De En Fr

Fiche du document

Date

2021

Discipline
Périmètre
Langue
Identifiants
Collection

Archives ouvertes

Licence

info:eu-repo/semantics/OpenAccess



Citer ce document

Franck Collin et al., « Le Tibre, mythopoétique d'une mémoire transitoire au coeur de la ville éternelle », HAL-SHS : littérature, ID : 10670/1.d3tgos


Métriques


Partage / Export

Résumé Fr

Communication prononcée au colloque international « Orléans et les villes-fleuves du monde au fil des siècles : histoire d'eau et d'art », 16-18 mars 2017, Université d'Orléans, EA 1210 Cedete et Musées de la Ville d'Orléans, À paraître dans Les villes-fleuves du monde au fil des siècles : histoire d'eau et d'art, B. Sajaloli et P. Voisin (dir.), Garnier. Les fleuves ont puissamment irrigué la vie des hommes et leur imaginaire poétique. Admirés, craints, divinisés, ils tissent un lien originaire avec les hommes, suscitant mythes et histoires, qu'ils s'agissent du Nil ou du Scamandre, de l'Amazone ou du Congo, du Rhin ou du Danube, pour ne citer qu'eux 1. Les fleuves, par leur fertilité et leurs facilités d'accès, font naître les cités. Tel fut le cas de Rome, que le Tibre sema au VIII e siècle avant notre ère. Si ce lien semble exclusif, certains rappellent néanmoins que le Tibre prend sa source loin en amont de Rome, qu'il n'a en soi rien d'insigne 2 , et ne doit sa notoriété qu'au prestige antique de la Ville.

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines

Exporter en